| 1912 | Johnny Friedlaender naît le 21 juin à Pless en Haute-Silésie. | 
	
    | 1929 | entre à l'Académie des beaux-arts de Breslau. Intègre les Meisterklasse de Carlo Mense et Otto Mueller, deux maîtres du mouvement expressionniste. Premiers essais d'eau-forte et de lithographie. | 
	
    | 1930 | Friedlaender s'installe à Dresde. Il s'inscrit au parti communiste. | 
	
    | 1932 | crée avec d'autres amis une troupe de théâtre, et appartient à l'association des artistes révolutionnaires d'Allemagne. Il se découvre l'art de Käthe Kollwitz et d'Otto Dix. | 
	
    | 1933 | dénoncé comme opposant au régime, il est envoyé à la forteresse de Hohenstein. En décembre, faute de témoins, il est amnistié. | 
	
    | 1935 | Il fuit l'Allemagne. | 
	
    | 1939 | arrêté, il est transféré dans différents camps d'internement (Meslay du Maine, Vidauban, Les Mées, Les Milles). | 
	
    | 1945 | Friedlaender publie son premier recueil de gravures, Images du Malheur, qui témoigne de la période tourmentée qu'il a vécue pendant la guerre. Il s'installe définitivement à Paris. | 
	
    | 1949 | Friedlaender fonde un atelier de gravure, l'Atelier de l'Ermitage. Première exposition personnelle à la galerie La Hune. | 
	
    | 1952 | naturalisé français. A partir de cette année, la couleur entre dans les gravures de Friedlaender. | 
	
    | 1958 | invité à la Biennale de Venise pour représenter la gravure française au pavillon français. | 
	
    | 1966 | Nommé professeur à l'Académie de Salzbourg, Friedlaender reprend la peinture, abandonnée en 1940. | 
	
    | 1978 | Première rétrospective au Musée d'art moderne de la ville de Paris. | 
	
    | 1987 | Grande rétrospective de son oeuvre à la Kunsthalle de Brême. | 
	
    | 1992 | 1992 : décède à Paris le 18 juin. |